La petite bête qui monte, qui monte….

La coccinelle et son amie, la fourmi noire, ne cessent de monter au firmament du cinéma. Depuis mercredi, en 5 jours, près de 370 000 fans des valeureuses et adorables héroïnes de Minuscule, la vallée des fourmis perdues, se sont précipités dans les salles obscures. Parmi les nombreuses appréciations des spectateurs sur le site Allo Ciné, au coté des « Merveilleux! courez-y! Tout y est! » je retiens celle-ci qui me fait revivre le film. La parole est à Marmotte 67: « Un Minuscule petit groupe français pointe le bout de son nez pour offrir un film Majuscule (facile). L’idée de remplacer l’anneau du Seigneur des Anneaux par du sucre, les orques par des fourmis rouges, les hommes par des fourmis noires, les flèches par des cure-dents, les catapultes par des lance-pierres etc..; rend l’histoire aussi géniale qu’ordinaire.« 

Il y a bien une sorte de parabole réjouissante dans cette histoire, ou bien sûr les méchants perdent malgré leurs considérables moyens, oui c’est la victoire de David contre Goliath, mais c’est aussi l’idée qu’il ne faut jamais désespérer. Que contre toute évidence,  le courage et l’astuce peuvent triompher. En ces temps de doute sur nous-mêmes, voilà une idée bienvenue. Profitons-en pour croire que la France, le made in France, intelligent et courageux, ambitieux encore, a sa place dans le concert des Grands?

 

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